Hannah
Pocket / 2002
Auteur·rice : Jean-Claude Mourlevat
Illustrateur·rice : Marc Taraskoff
Faits et gestes
Hannah raconte à Tomek sa quête de la rivière Qjar, rivière « qui coule à l'envers » et dont l'eau lui permettra de sauver son oiseau, une passerine, son bien le plus précieux depuis l'enfance.
L'héroïne traverse des territoires tantôt effrayants, tantôt féeriques : la Route du Ciel, la Forêt de l'Oubli, le désert, le pays des Silencieux, celui des nomades qui maîtrisent le temps, elle rencontre des parfumeurs gourmands, des navigateurs aux noms impossibles et un peuple étrange qui interdit l'usage des miroirs.
Signes particuliers :
On se laisse prendre par ce récit drôle et émouvant à l'écriture simple et poétique. Le roman est original tout en faisant des références parodiques à des contes : une « Belle au bois dormant », princesse du pays des Affreux.
Les thèmes importants sont la quête identitaire, la tolérance et le respect ainsi que limportance du nom et du silence.
Dans ce second volet de « La Rivière à l'envers », on aurait pu craindre des répétitions pour ceux qui ont déjà lu le premier roman et l'incompréhension pour ceux qui ne l'ont pas lu.
Loin de là, le roman n'est pas une simple reprise avec un changement de point de vue, même si l'on retrouve certaines scènes, mais bien une oeuvre à part entière.
Catherine Gentile
Hannah raconte à Tomek sa quête de la rivière Qjar, rivière « qui coule à l'envers » et dont l'eau lui permettra de sauver son oiseau, une passerine, son bien le plus précieux depuis l'enfance.
L'héroïne traverse des territoires tantôt effrayants, tantôt féeriques : la Route du Ciel, la Forêt de l'Oubli, le désert, le pays des Silencieux, celui des nomades qui maîtrisent le temps, elle rencontre des parfumeurs gourmands, des navigateurs aux noms impossibles et un peuple étrange qui interdit l'usage des miroirs.
Signes particuliers :
On se laisse prendre par ce récit drôle et émouvant à l'écriture simple et poétique. Le roman est original tout en faisant des références parodiques à des contes : une « Belle au bois dormant », princesse du pays des Affreux.
Les thèmes importants sont la quête identitaire, la tolérance et le respect ainsi que limportance du nom et du silence.
Dans ce second volet de « La Rivière à l'envers », on aurait pu craindre des répétitions pour ceux qui ont déjà lu le premier roman et l'incompréhension pour ceux qui ne l'ont pas lu.
Loin de là, le roman n'est pas une simple reprise avec un changement de point de vue, même si l'on retrouve certaines scènes, mais bien une oeuvre à part entière.
Catherine Gentile
2003
Aventure
Roman