Anthony Browne
Auteur, Illustrateur
Biographie :
Anthony Browne est né à Sheffield dans le nord de l’Angleterre en 1946. Il étudie les arts graphiques au College of Arts de Leeds où il obtient un diplôme. Peu intéressé par ses études centrées sur la publicité, il travaille beaucoup le dessin du corps humain. Il devient assistant de l’artiste médical de l’université de Manchester (dessin de planches anatomiques reproduisant les opérations chirurgicales), réunissant ainsi sa passion pour la peinture et sa fascination pour l’intérieur du corps humain. Il dessine ensuite des produits de vente par correspondance mais déteste ce travail publicitaire.
En 1975, il prend contact avec l’éditeur anglais Hamish Hamilton et son premier livre, Through the magic mirror est publié en 1976. Il continue toujours et publie chez Hamish Hamilton et Julia McRae Books.
Dessinateur de cartes de vœux encore aujourd’hui, cette activité lui permet de vivre et de n’éditer que des livres qu’il trouve importants. Il habite une vieille ferme dans le Kent avec sa famille et il est capitaine de l’équipe locale de cricket.
Il a reçu - Le prix Kate Greenway pour Zoo. - Le prix Kurt Maschler pour Une histoire à quatre voix et Alice au pays des merveilles. - La Kurt Maschler Award et la Kate Greenway Medal pour Anna et le gorille. Puis, le prix Hans Christian Andersen 2000 (Ibby) lui a été décerné pour l’ensemble de son œuvre.
A propos de ses dessins de jeunesse, Anthony Browne avait dit : « Ce que je dessinais alors ressemblait de bien des façons à mes dessins d’aujourd’hui. Les thèmes étaient souvent des batailles – entre cow-boys et indiens, soldats, pirates – mais toujours, à l’arrière-plan, il y avait des petites blagues, d’étranges évènements qui n’avaient parfois rien à voir avec ce qui se passait au 1er plan. Une tête décapitée pouvait être en train de parler, un bras démembré en train de s’agiter » (Revue des livres pour enfants, n°113, printemps 1987, p 32-33.)
Extrait d’une interview pour les 10 ans de Kaléidoscope :
- A quel moment avez-vous décidé de devenir auteur-illustrateur ?
- Quel a été le moment décisif pour votre carrière ?
C’est venu petit à petit – j’ai été dessinateur médical, j’ai travaillé dans la publicité, j’ai conçu des cartes de vœux. Ecrire et illustrer mon premier livre pour enfants semblait la suite logique de ce que j’avais fait. Je ne savais pas que j’en écrirais toujours 23 ans plus tard. Il n’y a pas eu de moment décisif ; au fil du temps, j’ai découvert que je pouvais gagner ma vie en faisant des livres. […]
- Qu’aimez-vous le plus dessiner ?
Je suppose que je préfère dessiner les gens et les gorilles. J’adorais faire des nus, et j’aimerais m’y remettre un jour.
Dès le collège il fut « fasciné par le côté animal des humains », mais pourquoi les gorilles ? : « il est maintenant reconnu je pense, que les gorilles ne sont pas des créatures effrayantes et agressives que nous avons imaginé par le passé […] ce sont des parents très attentifs et affectueux. » (le Monde, 25/09/98)
Spécificité de l’œuvre
Anthony Browne écrit et illustre ses albums pour des enfants de 3 à 10 ans environ. Ses textes utilisent des phrases courtes, claires, compréhensibles par les jeunes enfants.
Les dessins
La force des livres d’A. Browne sont les dessins. Ils sont très travaillés, précis, réalistes, proches de la réalité ; le fait qu’il ait travaillé comme dessinateur médical explique cela. Les plus réussis sont ceux représentants des animaux ou des visages en gros plan.
Ses dessins sont remplis de petits détails que l’on ne remarque pas à la première lecture. Il change, transforme, détourne tout ce qu’il peut : un interrupteur qui sourit, un bouton à tête de cochon, des gorilles cachés entre les livres… Les dessins que l’on retrouve le plus dans son œuvre sont les bananes et les gorilles, ils sont partout, même dans Alice au pays des merveilles.
En général, ses dessins présentent beaucoup de trouvailles graphiques, de clins d’œil humoristiques, et de la tendresse, tout ce qu’il veut exprimer passe par le dessin.
Le décor
Il est plutôt banal, très ancré dans la réalité, le quotidien. Ce sont des décors urbains, contemporains tels que les HLM et une rue glauque dans Une histoire à quatre voix, un enclos pour rhinocéros assez triste dans Zoo.
Ils présentent la vie de tous les jours des enfants : la bibliothèque, le stade d’athlétisme, à la maison sans parents, le parc, le trajet en voiture…
Les décors de ses albums sont plutôt mornes, les intérieurs surtout sont tristes, plus que les extérieurs qui font plus appel à l’imaginaire comme une forêt « enchantée », des arbres en forme de gorilles…
Les personnages
La majorité de ses héros sont des enfants. Sa « star » est Marcel (Willy en anglais), un chimpanzé maigrichon et timide que l’on retrouve souvent.
Les personnages favoris d’A. Browne sont les gorilles, ils sont souvent personnifiés, dans Une histoire à quatre voix, ils sont habillés comme les humains, possèdent les mêmes sentiments, parlent… Dans Tout change, le héros est un petit garçon qui ressemble à un humain, mais le monde imaginaire n’est pas loin…
L’imaginaire
Il est présent dans tous ses livres. Browne transforme la réalité : le monde est à l’envers dans Marcel et Hugo, les humains sont dans les cages du zoo à la place des singes, le papa se transforme petit à petit en cochon dans A calicochon. Les singes remplacent souvent les humains ou alors les humains deviennent des animaux (A calicochon). Les objets également semblent posséder une âme : la bouilloire se transforme en chat dans Tout change.
L’imaginaire passe par le rêve : Anna et le gorille, Marcel le rêveur, Marcel le magicien qui se croit un grand champion de football.
Les références
Nombre de ses dessins font référence aux œuvres d’art : la chambre de Van Gogh dans Tout change, Magritte dans Alice…, La Joconde dans Une histoire à quatre voix. Son dernier album présente les tableaux de quelques grands peintres, investis par les gorilles.
Browne fait aussi référence aux contes : dans Un conte de Petit Ours, au fond entre les arbres, on aperçoit ici et là, la maison en bonbons de Hansel et Gretel, le Chaperon rouge, les trois petits cochons, le soulier de verre de Cendrillon, le Chat botté, la pomme empoisonnée de Blanche-Neige.
La symbolique
Les histoires font références aux situations que vivent les enfants :
L’héroïne d’Anna et le gorille rêve que son papa s’occupe plus d’elle comme le gorille qui vient lui rendre visite. On trouve un père autoritaire pas vraiment délicat dans Zoo, un père au chômage face à une mère trop envahissante dans Une histoire à quatre voix, un garçon timide et complexé dans Marcel et Hugo, la relation frère-sœur dans Le tunnel…
Ce sont donc réellement des situations que des enfants peuvent vivre, c’est peut-être pour cette raison que les albums d’Anthony Browne remportent un tel succès auprès des jeunes.
Anthony Browne est né à Sheffield dans le nord de l’Angleterre en 1946. Il étudie les arts graphiques au College of Arts de Leeds où il obtient un diplôme. Peu intéressé par ses études centrées sur la publicité, il travaille beaucoup le dessin du corps humain. Il devient assistant de l’artiste médical de l’université de Manchester (dessin de planches anatomiques reproduisant les opérations chirurgicales), réunissant ainsi sa passion pour la peinture et sa fascination pour l’intérieur du corps humain. Il dessine ensuite des produits de vente par correspondance mais déteste ce travail publicitaire.
En 1975, il prend contact avec l’éditeur anglais Hamish Hamilton et son premier livre, Through the magic mirror est publié en 1976. Il continue toujours et publie chez Hamish Hamilton et Julia McRae Books.
Dessinateur de cartes de vœux encore aujourd’hui, cette activité lui permet de vivre et de n’éditer que des livres qu’il trouve importants. Il habite une vieille ferme dans le Kent avec sa famille et il est capitaine de l’équipe locale de cricket.
Il a reçu - Le prix Kate Greenway pour Zoo. - Le prix Kurt Maschler pour Une histoire à quatre voix et Alice au pays des merveilles. - La Kurt Maschler Award et la Kate Greenway Medal pour Anna et le gorille. Puis, le prix Hans Christian Andersen 2000 (Ibby) lui a été décerné pour l’ensemble de son œuvre.
A propos de ses dessins de jeunesse, Anthony Browne avait dit : « Ce que je dessinais alors ressemblait de bien des façons à mes dessins d’aujourd’hui. Les thèmes étaient souvent des batailles – entre cow-boys et indiens, soldats, pirates – mais toujours, à l’arrière-plan, il y avait des petites blagues, d’étranges évènements qui n’avaient parfois rien à voir avec ce qui se passait au 1er plan. Une tête décapitée pouvait être en train de parler, un bras démembré en train de s’agiter » (Revue des livres pour enfants, n°113, printemps 1987, p 32-33.)
Extrait d’une interview pour les 10 ans de Kaléidoscope :
- A quel moment avez-vous décidé de devenir auteur-illustrateur ?
- Quel a été le moment décisif pour votre carrière ?
C’est venu petit à petit – j’ai été dessinateur médical, j’ai travaillé dans la publicité, j’ai conçu des cartes de vœux. Ecrire et illustrer mon premier livre pour enfants semblait la suite logique de ce que j’avais fait. Je ne savais pas que j’en écrirais toujours 23 ans plus tard. Il n’y a pas eu de moment décisif ; au fil du temps, j’ai découvert que je pouvais gagner ma vie en faisant des livres. […]
- Qu’aimez-vous le plus dessiner ?
Je suppose que je préfère dessiner les gens et les gorilles. J’adorais faire des nus, et j’aimerais m’y remettre un jour.
Dès le collège il fut « fasciné par le côté animal des humains », mais pourquoi les gorilles ? : « il est maintenant reconnu je pense, que les gorilles ne sont pas des créatures effrayantes et agressives que nous avons imaginé par le passé […] ce sont des parents très attentifs et affectueux. » (le Monde, 25/09/98)
Spécificité de l’œuvre
Anthony Browne écrit et illustre ses albums pour des enfants de 3 à 10 ans environ. Ses textes utilisent des phrases courtes, claires, compréhensibles par les jeunes enfants.
Les dessins
La force des livres d’A. Browne sont les dessins. Ils sont très travaillés, précis, réalistes, proches de la réalité ; le fait qu’il ait travaillé comme dessinateur médical explique cela. Les plus réussis sont ceux représentants des animaux ou des visages en gros plan.
Ses dessins sont remplis de petits détails que l’on ne remarque pas à la première lecture. Il change, transforme, détourne tout ce qu’il peut : un interrupteur qui sourit, un bouton à tête de cochon, des gorilles cachés entre les livres… Les dessins que l’on retrouve le plus dans son œuvre sont les bananes et les gorilles, ils sont partout, même dans Alice au pays des merveilles.
En général, ses dessins présentent beaucoup de trouvailles graphiques, de clins d’œil humoristiques, et de la tendresse, tout ce qu’il veut exprimer passe par le dessin.
Le décor
Il est plutôt banal, très ancré dans la réalité, le quotidien. Ce sont des décors urbains, contemporains tels que les HLM et une rue glauque dans Une histoire à quatre voix, un enclos pour rhinocéros assez triste dans Zoo.
Ils présentent la vie de tous les jours des enfants : la bibliothèque, le stade d’athlétisme, à la maison sans parents, le parc, le trajet en voiture…
Les décors de ses albums sont plutôt mornes, les intérieurs surtout sont tristes, plus que les extérieurs qui font plus appel à l’imaginaire comme une forêt « enchantée », des arbres en forme de gorilles…
Les personnages
La majorité de ses héros sont des enfants. Sa « star » est Marcel (Willy en anglais), un chimpanzé maigrichon et timide que l’on retrouve souvent.
Les personnages favoris d’A. Browne sont les gorilles, ils sont souvent personnifiés, dans Une histoire à quatre voix, ils sont habillés comme les humains, possèdent les mêmes sentiments, parlent… Dans Tout change, le héros est un petit garçon qui ressemble à un humain, mais le monde imaginaire n’est pas loin…
L’imaginaire
Il est présent dans tous ses livres. Browne transforme la réalité : le monde est à l’envers dans Marcel et Hugo, les humains sont dans les cages du zoo à la place des singes, le papa se transforme petit à petit en cochon dans A calicochon. Les singes remplacent souvent les humains ou alors les humains deviennent des animaux (A calicochon). Les objets également semblent posséder une âme : la bouilloire se transforme en chat dans Tout change.
L’imaginaire passe par le rêve : Anna et le gorille, Marcel le rêveur, Marcel le magicien qui se croit un grand champion de football.
Les références
Nombre de ses dessins font référence aux œuvres d’art : la chambre de Van Gogh dans Tout change, Magritte dans Alice…, La Joconde dans Une histoire à quatre voix. Son dernier album présente les tableaux de quelques grands peintres, investis par les gorilles.
Browne fait aussi référence aux contes : dans Un conte de Petit Ours, au fond entre les arbres, on aperçoit ici et là, la maison en bonbons de Hansel et Gretel, le Chaperon rouge, les trois petits cochons, le soulier de verre de Cendrillon, le Chat botté, la pomme empoisonnée de Blanche-Neige.
La symbolique
Les histoires font références aux situations que vivent les enfants :
L’héroïne d’Anna et le gorille rêve que son papa s’occupe plus d’elle comme le gorille qui vient lui rendre visite. On trouve un père autoritaire pas vraiment délicat dans Zoo, un père au chômage face à une mère trop envahissante dans Une histoire à quatre voix, un garçon timide et complexé dans Marcel et Hugo, la relation frère-sœur dans Le tunnel…
Ce sont donc réellement des situations que des enfants peuvent vivre, c’est peut-être pour cette raison que les albums d’Anthony Browne remportent un tel succès auprès des jeunes.
Une Promenade au parc – Gembloux ; Paris : Duculot, 1977. - [26] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 26 cm. – (Les Albums Duculot).
Ourson et les chasseurs ; [trad. par Catherine Deloraine]. – [Paris] : Flammarion, 1980. – [24] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul.
Anna et le gorille, ; trad. de l’anglais par Elisabeth Margot. – Paris : Flammarion, 1983. – 32 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 72 F.
Et : (Les Patapoches, 0762-2708 ; 34).(Kaléidoscope, 1994)
Pour son anniversaire, Anna a demandé à son père un gorille. Elle reçoit un ridicule gorille en peluche.
Marcel la Mauviette – [Paris] : Flammarion, 1985. – [30] p.
Et : (Les Patapoches, 0762-2708 ; 40). (Lutin poche de l’Ecole des loisirs). (Kaléidoscope).
Un jeune gorille en a assez qu'on le traite de mauviette et décide de devenir fort.
Marcel le champion – [Paris] : Flammarion, 1986. – [30] p. : 69 F.
Et : (Kaléidoscope).
A calicochon – [Paris] : Flammarion, 1987. – [30] p. : 62 F.
Ce que j'aime faire – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [20]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm : 49 F.
J'aime les livres– [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [20]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm : 49 F.
Le Tunnel ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [23] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. : 69 F.
Et : (Lutin poche).
Un frère et une soeur se chamaillent continuellement. Un jour, ils dénichent un tunnel : le garçon y pénètre mais n'en ressort pas. La fillette entre à son tour et découvre son frère transformé en pierre. C'est par ses larmes qu'elle lui rend la vie.
Marcel la mauviette, Kaleidoscope, 1991, rééd. de 1985.
Un jeune gorille en a assez qu'on le traite de mauviette et décide de devenir fort.
Le Livre de Petit Ours – [Paris] : Kaléidoscope : diff. L’Ecole des loisirs, 1990. - [18]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 15 cm : 34 F.
Un Conte de Petit Ours – [Paris] : Kaléidoscope : diff. L’Ecole des loisirs, - [17]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 15 cm : 39 F.
Tout change ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1990. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 31 cm. : 79 F.
La transformation des obejts du quotidien.
Marcel et Hugo ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – Paris : Kaléidoscope, 1991. – [26] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
Et : (Lutin poche)
Zoo ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1992. – [26] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. : 75 F.
Album à partir de 4 ans - Visite dominicale du zoo en famille - Ville - Animaux.
Le Grand Bébé : une histoire pour rire ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1993. – [23] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm : 72 F.
Le papa de Vincent Lejeune fait tout pour rester jeune. Mais lorsqu'il boit la potion, il a peut-être été un peu trop loin.
King-Kong, vu par Anthony Browne ; d’après l’histoire conçue par Edgar Wallace et Merian C. Cooper ; trad. Elisabeth Duval. – [Paris] : Kaléidoscope, 1994. – 92 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. : 139 F.
Marcel le magicien ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1995. – [28] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
A partir de 4 ans - Marcel adore le football, mais on ne le choisit jamais pour jouer. Il faudra une rencontre étrange, des chaussures magiques pour être enfin remarqué.
Marcel le rêveur ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1997. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
Album à partir de 4 ans. Marcel, le petit singe, rêve qu'il est une vedette de cinéma, peintre, danseur étoile. L'univers de Marcel est une série de tableaux étonnants.
Une histoire à quatre voix ; trad. Elisabeth Duval. – [Paris] : Kaléidoscope, 1998. – [32] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 31 cm.
Trad. de « Voices in the park ».
A partir de 6 ans - Lors d’une banale promenade dans un parc, quatre personnes se trouvent au même endroit et au même moment. C’est l’occasion pour Anthony Browne de tisser un récit aux multiples pistes : comment ces quatre regards perçoicent-ils ce qui les entourent ; comment se voient-ils et se jugent-ils ? Un album à plusieurs niveaux de lecture et, souvent chez Anthony Browne, faisant largement appel à l’histoire de l’art.
Mon papa ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 2000. – [25] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 79 F.
Trad. de « My dad ».
Album à partir de 3 ans - Un petit garçon présente son papa : il est tellement bien son papa et il sait faire tellement de chose. Un livre plein d'humour et d'émotion.
Les tableaux de Marcel ; trad. Ludovic-Jérôme Gombault. – [Paris] : Kaléidoscope, 2000. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 89 F.
Trad. de « Willy’s pictures ».
A partir de 4 ans - Tableaux de maîtres, art, peinture.
Il était une fois Léonard de Vinci – [Paris] : Casterman (Musée en herbe).
A la fête foraine, Kaleidoscope, 2002.
Le jeu des formes, Kaleidoscope, 2003.
Album à partir de 5 ans - Après Les tableaux de Marcel, Anthony Browne propose un nouvel album autour des œuvres d’art. Ici, l’auteur-illustrateur propose une visite familiale au Musée (un cadeau d’anniversaire). Malgré les blagues de son frère et de son père, le petit garçon fera une merveilleuse découverte à travers ce parcours initiatique. Car, comme souvent chez Anthony Browne, le fantastique et l’extraordinaire se mêlent au réel : les personnages des tableaux quittent les toiles, des tableaux sont récrés grâce aux membre de la famille. Le jeu devient de plus en plus prenant, jusqu’à la dernière page. Une visite animée et joyeuse, pour un album rigoureux, qui amène le jeune lecteur à observer autrement les œuvres d’art.
Livres édités seulement en anglais
Through the magic mirror / texte et ill. d’Anthony Browne. – Hamish Hamilton, 1976.
Look what I’ve got / texte et ill. d’Anthony Browne. – Julia McRae Books, 1980.
Hansel et Gretel / texte des frères Grimm ; ill. d’Anthony Browne. – Julia McRae Books, 1981
Bears goes to town / texte et ill. d’Anthony Browne. – Hamish Hamilton, 1982.
La marâtre / ill. d’Anthony Browne. – Norman Leach Jane Browne, 1992.
Les ouvrages illustrés par Anthony Browne:
Des invités bien encombrants, texte d’Annalena McAfee ; ill. par Anthony Browne. ; trad. de Elisabeth Margot. – [Paris] : Flammarion, 1984. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
Toc, toc ! qui est là ?, texte de Sally Grindley ; ill. par Anthony Browne. – Paris : Flammarion, 1986. – [28] p.
Ce que Karine savait, texte d’Annalena McAfee ; ill. par Anthony Browne. – Paris : Flammarion, 1987. – [32] p. : 60 F.
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ; ill. par Anthony Browne ; trad. de Henri Parisot. – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – 128 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm. : 149 F.
Le coucan de nuit, Gwen Strauss et Anthony Browne ; [trad. Elisabeth Duval]. – [Paris] : Kaléidoscope, 1991. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm. : 72 F.
Le secret du jardin, Janni Howker ; ill. par Anthony Browne ; trad. de Anne Krief. – [Paris] : Gallimard jeunesse, 1993. – 93 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm. – (Lecture junior ; 34).
Roman à partir de 10 ans.
Le rêveur, Ian McEwan ; ill. par Anthony Browne. ; trad. de Josée Strawson. – [Paris] : Gallimard jeunesse, 1995. – 151 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm. – (Lecture junior ; 53).
Ourson et les chasseurs ; [trad. par Catherine Deloraine]. – [Paris] : Flammarion, 1980. – [24] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul.
Anna et le gorille, ; trad. de l’anglais par Elisabeth Margot. – Paris : Flammarion, 1983. – 32 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 72 F.
Et : (Les Patapoches, 0762-2708 ; 34).(Kaléidoscope, 1994)
Pour son anniversaire, Anna a demandé à son père un gorille. Elle reçoit un ridicule gorille en peluche.
Marcel la Mauviette – [Paris] : Flammarion, 1985. – [30] p.
Et : (Les Patapoches, 0762-2708 ; 40). (Lutin poche de l’Ecole des loisirs). (Kaléidoscope).
Un jeune gorille en a assez qu'on le traite de mauviette et décide de devenir fort.
Marcel le champion – [Paris] : Flammarion, 1986. – [30] p. : 69 F.
Et : (Kaléidoscope).
A calicochon – [Paris] : Flammarion, 1987. – [30] p. : 62 F.
Ce que j'aime faire – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [20]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm : 49 F.
J'aime les livres– [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [20]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm : 49 F.
Le Tunnel ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – [23] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. : 69 F.
Et : (Lutin poche).
Un frère et une soeur se chamaillent continuellement. Un jour, ils dénichent un tunnel : le garçon y pénètre mais n'en ressort pas. La fillette entre à son tour et découvre son frère transformé en pierre. C'est par ses larmes qu'elle lui rend la vie.
Marcel la mauviette, Kaleidoscope, 1991, rééd. de 1985.
Un jeune gorille en a assez qu'on le traite de mauviette et décide de devenir fort.
Le Livre de Petit Ours – [Paris] : Kaléidoscope : diff. L’Ecole des loisirs, 1990. - [18]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 15 cm : 34 F.
Un Conte de Petit Ours – [Paris] : Kaléidoscope : diff. L’Ecole des loisirs, - [17]p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 15 cm : 39 F.
Tout change ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1990. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 31 cm. : 79 F.
La transformation des obejts du quotidien.
Marcel et Hugo ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – Paris : Kaléidoscope, 1991. – [26] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
Et : (Lutin poche)
Zoo ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1992. – [26] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. : 75 F.
Album à partir de 4 ans - Visite dominicale du zoo en famille - Ville - Animaux.
Le Grand Bébé : une histoire pour rire ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1993. – [23] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm : 72 F.
Le papa de Vincent Lejeune fait tout pour rester jeune. Mais lorsqu'il boit la potion, il a peut-être été un peu trop loin.
King-Kong, vu par Anthony Browne ; d’après l’histoire conçue par Edgar Wallace et Merian C. Cooper ; trad. Elisabeth Duval. – [Paris] : Kaléidoscope, 1994. – 92 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. : 139 F.
Marcel le magicien ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1995. – [28] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
A partir de 4 ans - Marcel adore le football, mais on ne le choisit jamais pour jouer. Il faudra une rencontre étrange, des chaussures magiques pour être enfin remarqué.
Marcel le rêveur ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 1997. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm.
Album à partir de 4 ans. Marcel, le petit singe, rêve qu'il est une vedette de cinéma, peintre, danseur étoile. L'univers de Marcel est une série de tableaux étonnants.
Une histoire à quatre voix ; trad. Elisabeth Duval. – [Paris] : Kaléidoscope, 1998. – [32] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 31 cm.
Trad. de « Voices in the park ».
A partir de 6 ans - Lors d’une banale promenade dans un parc, quatre personnes se trouvent au même endroit et au même moment. C’est l’occasion pour Anthony Browne de tisser un récit aux multiples pistes : comment ces quatre regards perçoicent-ils ce qui les entourent ; comment se voient-ils et se jugent-ils ? Un album à plusieurs niveaux de lecture et, souvent chez Anthony Browne, faisant largement appel à l’histoire de l’art.
Mon papa ; trad. Isabelle Finkenstaedt. – [Paris] : Kaléidoscope, 2000. – [25] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 79 F.
Trad. de « My dad ».
Album à partir de 3 ans - Un petit garçon présente son papa : il est tellement bien son papa et il sait faire tellement de chose. Un livre plein d'humour et d'émotion.
Les tableaux de Marcel ; trad. Ludovic-Jérôme Gombault. – [Paris] : Kaléidoscope, 2000. : ill. en coul., couv. ill. en coul. : 89 F.
Trad. de « Willy’s pictures ».
A partir de 4 ans - Tableaux de maîtres, art, peinture.
Il était une fois Léonard de Vinci – [Paris] : Casterman (Musée en herbe).
A la fête foraine, Kaleidoscope, 2002.
Le jeu des formes, Kaleidoscope, 2003.
Album à partir de 5 ans - Après Les tableaux de Marcel, Anthony Browne propose un nouvel album autour des œuvres d’art. Ici, l’auteur-illustrateur propose une visite familiale au Musée (un cadeau d’anniversaire). Malgré les blagues de son frère et de son père, le petit garçon fera une merveilleuse découverte à travers ce parcours initiatique. Car, comme souvent chez Anthony Browne, le fantastique et l’extraordinaire se mêlent au réel : les personnages des tableaux quittent les toiles, des tableaux sont récrés grâce aux membre de la famille. Le jeu devient de plus en plus prenant, jusqu’à la dernière page. Une visite animée et joyeuse, pour un album rigoureux, qui amène le jeune lecteur à observer autrement les œuvres d’art.
Livres édités seulement en anglais
Through the magic mirror / texte et ill. d’Anthony Browne. – Hamish Hamilton, 1976.
Look what I’ve got / texte et ill. d’Anthony Browne. – Julia McRae Books, 1980.
Hansel et Gretel / texte des frères Grimm ; ill. d’Anthony Browne. – Julia McRae Books, 1981
Bears goes to town / texte et ill. d’Anthony Browne. – Hamish Hamilton, 1982.
La marâtre / ill. d’Anthony Browne. – Norman Leach Jane Browne, 1992.
Les ouvrages illustrés par Anthony Browne:
Des invités bien encombrants, texte d’Annalena McAfee ; ill. par Anthony Browne. ; trad. de Elisabeth Margot. – [Paris] : Flammarion, 1984. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
Toc, toc ! qui est là ?, texte de Sally Grindley ; ill. par Anthony Browne. – Paris : Flammarion, 1986. – [28] p.
Ce que Karine savait, texte d’Annalena McAfee ; ill. par Anthony Browne. – Paris : Flammarion, 1987. – [32] p. : 60 F.
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ; ill. par Anthony Browne ; trad. de Henri Parisot. – [Paris] : Kaléidoscope, 1989. – 128 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm. : 149 F.
Le coucan de nuit, Gwen Strauss et Anthony Browne ; [trad. Elisabeth Duval]. – [Paris] : Kaléidoscope, 1991. – [30] p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm. : 72 F.
Le secret du jardin, Janni Howker ; ill. par Anthony Browne ; trad. de Anne Krief. – [Paris] : Gallimard jeunesse, 1993. – 93 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm. – (Lecture junior ; 34).
Roman à partir de 10 ans.
Le rêveur, Ian McEwan ; ill. par Anthony Browne. ; trad. de Josée Strawson. – [Paris] : Gallimard jeunesse, 1995. – 151 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm. – (Lecture junior ; 53).