Nathalie Novi

Nathalie Novi

Nathalie Novi

Illustrateur
Biographie
Nathalie Novi est l'une des illustratrices phares de la nouvelle génération.
Elle réussit à faire partager à un grand nombre de lecteurs la poésie et la force de ses images.
"Je suis née le 5 octobre 1963 en Lorraine et j’ai passé ma petite enfance en Afrique du Nord. J’ai étudié à l’École Nationale des Beaux Arts de Nancy puis à celle de Paris dans l’atelier de gravure en taille-douce de M Pierre Courtin.
Diplômée en 1987, j’expose mes pastels à Paris, Bruxelles et Los Angeles."

Et les petites filles dansent, de Jo Hoestlandt, éd. Syros, 1999.

Paroles de Sérénité, éd. Albin-Michel, 1995.

L’Amour hérisson, éd. Nathan, 1996.

Fête foraine, éd. Nathan, 1997.

La Géante Solitude, de Jo Hoestlandt, éd. Syros, 1998.

La Belle au bois dormant, éd. Nathan, 1998.

Carnac et le Prince des lignes, de Jean Rouaud, éd. Seuil, 1999.

La Fenêtre de neige, éd. Nathan, 1999.

Square des Batignolles, éd. Thierry Magnier, 1998.

Le Château fort et le château faible, de Jo Hoestlandt,éd. Syros, 2000.

Le Cœur de Violette, de Michel Picquemal,
éd. de La Martinière, 2000.

Le Roi Arthur de Purcell, coll. Premiers CD (N°1), éd. Thierry Magnier, 2000.

Le Petit Être, de Jeanne Benameur,
éd. Thierry Magnier, 2000.

Feu de joie et autres chansons, poèmes de Louis Aragon, éd. Gallimard Jeunesse.

Maudit corbeau, de Thierry Lenain, éd. Nathan (coll. Demi Lune), 2001.

L’oiseau bleu, texte de Blaise Cendrars,
éd. Rue du Monde, 2001.

Et patati et patata, poésies de Pierre Coran, éd. Milan, 2001.

À l’ombre de l’olivier, éd. Didier jeunesse, 2001.

Jeanne et Ferdinand : l’enfant et la mode,
de Claude Fauque, éd. Thierry Magnier, 2001.

Conte des oiseaux, d’après Attar (contes iraniens), éd. Desclée de Brouwer Jeunesse, 2001.

Jonathan ne veut pas dormir,
Une ou deux chéries pour Jonathan,
Si j’étais riche, dit Jonathan, de Jo Hoestlandt, éd. Kid Pocket, 2001.

Portraits en pied des princes, princesses et autres bergères des contes de notre enfance, de Jo Hoestlandt, éd. Thierry Magnier, 2001.