 
        14-18, une minute de silence à nos arrière-grands-pères courageux
Seuil jeunesse / 2014
            Auteur·rice : Thierry Dedieu
                    
                        Les premières lignes
« Hélas, ma chère Adèle, il n’y a plus de mots pour décrire ce que je vis.
Gustave »
Le contenu
Les pages de cet album se tournent lentement, inexorablement les unes après les autres.
Pastels aux tonx sépia, les images se succèdent, marquant de manière durable la mémoire du lecteur, semant après elles horreur, désolation et mort. Une tranchée. Un lapin qui fuit. Deux gueules cassées. Un pou. « La minute de silence à nos arrière-grands-pères courageux » requise en guise de titre à cet album s’éternise. Le lecteur se tait et encaisse. Le fac-similé de lettre de Adèle à Gustave en réponse aux quelques mots de son fiancé, touchante de sincérité et d’un désespoir qui ne s’assume pas encore en tant que tel, clôt cet album de manière bouleversante.
L’on ne sort pas indemne de cette lecteur. Les images de Dedieu illustrent parfaitement l’horreur de la Grande Guerre et lorsqu’elles laissent soudain place au texte, elles font résonner l’émotion suscitée par les mots simples et justes, criant d’amour.
Hélène Dargagnon
                « Hélas, ma chère Adèle, il n’y a plus de mots pour décrire ce que je vis.
Gustave »
Le contenu
Les pages de cet album se tournent lentement, inexorablement les unes après les autres.
Pastels aux tonx sépia, les images se succèdent, marquant de manière durable la mémoire du lecteur, semant après elles horreur, désolation et mort. Une tranchée. Un lapin qui fuit. Deux gueules cassées. Un pou. « La minute de silence à nos arrière-grands-pères courageux » requise en guise de titre à cet album s’éternise. Le lecteur se tait et encaisse. Le fac-similé de lettre de Adèle à Gustave en réponse aux quelques mots de son fiancé, touchante de sincérité et d’un désespoir qui ne s’assume pas encore en tant que tel, clôt cet album de manière bouleversante.
L’on ne sort pas indemne de cette lecteur. Les images de Dedieu illustrent parfaitement l’horreur de la Grande Guerre et lorsqu’elles laissent soudain place au texte, elles font résonner l’émotion suscitée par les mots simples et justes, criant d’amour.
Hélène Dargagnon
                            18 euros                        
                    
                            2015                        
                    
                            Album                        
                    